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27 mars 2020 5 27 /03 /mars /2020 19:50
Cerf de Thorold, qui es-tu ?

Le cerf de Thorold (Przewalskium albirostris) est une espèce endémique du plateau tibétain situé en Chine. Bien que l'espèce a été découverte et nommée par Przhevalsky en 1883, WG Thorold a décrit plus tard le même cerf, ne sachant pas qu'il était déjà connu, et l'a nommé cerf de Thorold, (Cervus thoroldi) , en 1891. 

Cependant, son nom scientifique commémore son découvreur : Przhevalsky (Przewalskium), tandis que le nom spécifique (albirostris) est dérivé des termes latins albus (blanc) et rostre (museau), en raison des taches blanches autour de son museau.  Le nom est également venu du mot  chinois baichunlu (白唇鹿), qui signifie « blanc » aux lèvres. Pour cette raison, le cerf de Thorold est aussi communément appelé le cerf à lèvres blanches ou encore cerf à museau blanc.

Le cerf de Thorold a traditionnellement été inclus dans le genre Cervus. Néanmoins, certaines preuves génétiques suggèrent que l'animal doit être placé dans un genre à part. Le genre monotypique Przewalskium fut ainsi créé.

Przewalskium albirostris est connu sous le nom de «shor» par le peuple tibétain

Animal Diversity Web / Przewalskium albirostris / Cerf de Thorold

Le cerf de Thorold, aussi appelé cerf à museau blanc, n'est pas véritablement un cerf. Des études récentes ont en effet démontré qu'il n'appartenait pas au genre Cervus, comme les scientifiques le pensaient initialement, mais plutôt au genre Prezwalskium, dont il serait le seul représentant encore vivant.
Le cerf de Thorold, aussi appelé cerf à museau blanc, n'est pas véritablement un cerf. Des études récentes ont en effet démontré qu'il n'appartenait pas au genre Cervus, comme les scientifiques le pensaient initialement, mais plutôt au genre Prezwalskium, dont il serait le seul représentant encore vivant.
Le cerf de Thorold, aussi appelé cerf à museau blanc, n'est pas véritablement un cerf. Des études récentes ont en effet démontré qu'il n'appartenait pas au genre Cervus, comme les scientifiques le pensaient initialement, mais plutôt au genre Prezwalskium, dont il serait le seul représentant encore vivant.
Le cerf de Thorold, aussi appelé cerf à museau blanc, n'est pas véritablement un cerf. Des études récentes ont en effet démontré qu'il n'appartenait pas au genre Cervus, comme les scientifiques le pensaient initialement, mais plutôt au genre Prezwalskium, dont il serait le seul représentant encore vivant.

Le cerf de Thorold, aussi appelé cerf à museau blanc, n'est pas véritablement un cerf. Des études récentes ont en effet démontré qu'il n'appartenait pas au genre Cervus, comme les scientifiques le pensaient initialement, mais plutôt au genre Prezwalskium, dont il serait le seul représentant encore vivant.

Autrefois, le cerf de Thorold évoluait dans la partie Est du plateau tibétain. Actuellement, il vit en populations fragmentées dans le Nord-ouest et le Sud-ouest du Gansu oriental et central, au sud du Qinghai à l'est du Tibet, à l'ouest du Sichuan ainsi qu'au nord-ouest du Yunnan. Cette espèce habite les forêts de conifères, de rhododendrons, les broussailles de saules et les prairies alpines situées entre 3 500 et 5 100 m d'altitude. Un terrain accidenté et des zones de forte pression de chasse entraînent une répartition inégale de ces cerfs dans leurs habitats préférés.

Le cerf de Thorold est l'un des plus grands cervidés vivant au monde.
Le cerf de Thorold est l'un des plus grands cervidés vivant au monde.
Le cerf de Thorold est l'un des plus grands cervidés vivant au monde.

Le cerf de Thorold est l'un des plus grands cervidés vivant au monde.

Le cerf de Thorold est un des plus grands représentants de son genre, avec une hauteur d’épaule d’environ 115 à 140 cm pour une taille moyenne se situant entre 1,90 et 2,27 m de long. Les mâles, qui pèsent généralement de 180 à 230 kg, sont nettement plus imposants que les femelles, qui pèsent de 90 à 160 kg.

La femelle du cerf de Thorold est plus petite et ne porte pas de bois.
La femelle du cerf de Thorold est plus petite et ne porte pas de bois.
La femelle du cerf de Thorold est plus petite et ne porte pas de bois.
La femelle du cerf de Thorold est plus petite et ne porte pas de bois.

La femelle du cerf de Thorold est plus petite et ne porte pas de bois.

Les mâles sont facilement reconnaissables grâce aux bois qui ornent leur tête. Ceux-ci peuvent mesurer jusqu'à 1,40 m de long et peuvent atteindre un poids de 7 kg. Ces bois tombent chaque année vers le mois de mars puis repoussent pour atteindre leur pleine longueur vers la fin de l'été. Ils peuvent porter jusqu'a sept cors.

 

Les cerfs de Thorold voient leurs bois repousser après leur chute. Durant cette repousse, ces organes osseux sont recouvert d'une fine membrane grisâtre qui est appelée "velours".
Les cerfs de Thorold voient leurs bois repousser après leur chute. Durant cette repousse, ces organes osseux sont recouvert d'une fine membrane grisâtre qui est appelée "velours".

Les cerfs de Thorold voient leurs bois repousser après leur chute. Durant cette repousse, ces organes osseux sont recouvert d'une fine membrane grisâtre qui est appelée "velours".

Par rapport à la taille de l'animal, la queue est courte ne mesurant que 12 ou 13 cm de long.

Le poil de la croupe du cerf de Thorold est  plus clair que le reste du corps et la queue courte.
Le poil de la croupe du cerf de Thorold est  plus clair que le reste du corps et la queue courte.

Le poil de la croupe du cerf de Thorold est plus clair que le reste du corps et la queue courte.

Habitant du plateau tibétain, ce cervidé est doté de plusieurs adaptations pour cet environnement rude et froid. Son pelage brun est constitué d’un pelage long, épais et grossier lui procurant la chaleur nécessaire en hiver. Les pattes courtes et robustes sont munies de larges sabots parfaitement adaptés à l'itinérance dans un paysage accidenté. Comme le renne, le cerf de Thorold produit un claquement en marchant. C'est le bruit d'un tendon frottant sur un os du pied.

Contrairement aux autres espèces de cerfs, le cerf de Thorold a de larges sabots arrondis un peu comme ceux d'une vache. Ces sabots sont adaptés pour l'escalade sur des terrains escarpés et accidentés.
Contrairement aux autres espèces de cerfs, le cerf de Thorold a de larges sabots arrondis un peu comme ceux d'une vache. Ces sabots sont adaptés pour l'escalade sur des terrains escarpés et accidentés.
Contrairement aux autres espèces de cerfs, le cerf de Thorold a de larges sabots arrondis un peu comme ceux d'une vache. Ces sabots sont adaptés pour l'escalade sur des terrains escarpés et accidentés.

Contrairement aux autres espèces de cerfs, le cerf de Thorold a de larges sabots arrondis un peu comme ceux d'une vache. Ces sabots sont adaptés pour l'escalade sur des terrains escarpés et accidentés.

Le pelage d'été est plus sombre que le manteau d'hiver et les parties inférieures sont généralement plus crémeux en couleur. La tête est plus sombre que le reste du corps, surtout chez les mâles, et contraste avec des marques blanches sur les lèvres, autour du nez et de la gorge juste en dessous du menton. 

Les cerfs à museau blanc, comme leur nom l'indique, ont un marquage blanc pur caractéristique autour de leur bouche et sur le dessous de la gorge.
Les cerfs à museau blanc, comme leur nom l'indique, ont un marquage blanc pur caractéristique autour de leur bouche et sur le dessous de la gorge.
Les cerfs à museau blanc, comme leur nom l'indique, ont un marquage blanc pur caractéristique autour de leur bouche et sur le dessous de la gorge.
Les cerfs à museau blanc, comme leur nom l'indique, ont un marquage blanc pur caractéristique autour de leur bouche et sur le dessous de la gorge.

Les cerfs à museau blanc, comme leur nom l'indique, ont un marquage blanc pur caractéristique autour de leur bouche et sur le dessous de la gorge.

Une autre caractéristique propre à l'espèce lui vient de ses oreilles plus longues que la plupart des autres cerfs et bordées de poils blancs.

Les oreilles du cerf de Thorold sont plus longues que la plupart des autres cerfs et bordées de poils blancs.
Les oreilles du cerf de Thorold sont plus longues que la plupart des autres cerfs et bordées de poils blancs.
Les oreilles du cerf de Thorold sont plus longues que la plupart des autres cerfs et bordées de poils blancs.
Les oreilles du cerf de Thorold sont plus longues que la plupart des autres cerfs et bordées de poils blancs.

Les oreilles du cerf de Thorold sont plus longues que la plupart des autres cerfs et bordées de poils blancs.

Le cerf de Thorold  est tout à fait adapté à son milieu de vie. En effet, il possède des poumons et un coeur beaucoup plus gros que les autres représentants de son espèce. L'adaptation à l'altitude s'observe également dans la morphologie de son sang. Le cerf de Thorold présente un très grand nombre de globules rouges très petits , qui permettent ainsi des échanges gazeux beau­coup plus intenses. 

Les sens du cerf de Thorold  sont aigus, en particulier la vue. Les yeux sont fixés sur le côté de la tête, ce qui leur permet de surveiller un cercle complet 310° (180° chez l’Homme).
Les sens du cerf de Thorold  sont aigus, en particulier la vue. Les yeux sont fixés sur le côté de la tête, ce qui leur permet de surveiller un cercle complet 310° (180° chez l’Homme).
Les sens du cerf de Thorold  sont aigus, en particulier la vue. Les yeux sont fixés sur le côté de la tête, ce qui leur permet de surveiller un cercle complet 310° (180° chez l’Homme).

Les sens du cerf de Thorold sont aigus, en particulier la vue. Les yeux sont fixés sur le côté de la tête, ce qui leur permet de surveiller un cercle complet 310° (180° chez l’Homme).

Des années de chasse ont rendu les cerfs de Thorold extrêmement timides et méfiants, ce qui les rend très difficiles à observer dans la nature. Comme chez la plupart des cervidés, les sens sont très développés. Leurs oreilles sont indépendantes et peuvent donc bouger chacune indépendamment vers une source de bruit. Pareillement pour leur vision. Ils détectent très rapidement un mouvement. Il est donc très difficile de les approcher.  En cas de danger, les cerfs de Thorold peuvent courir très vite jusqu'à 56 km/h en pointe.

Le cerf de Thorold est un herbivore ruminant comme tous les cervidés.
Le cerf de Thorold est un herbivore ruminant comme tous les cervidés.
Le cerf de Thorold est un herbivore ruminant comme tous les cervidés.
Le cerf de Thorold est un herbivore ruminant comme tous les cervidés.
Le cerf de Thorold est un herbivore ruminant comme tous les cervidés.
Le cerf de Thorold est un herbivore ruminant comme tous les cervidés.
Le cerf de Thorold est un herbivore ruminant comme tous les cervidés.

Le cerf de Thorold est un herbivore ruminant comme tous les cervidés.

Le cerf de Thorold est un mammifère herbivore dont le régime alimentaire se compose essentiellement de graminées, d'herbes, de lichens, de feuilles et d'écorce d'arbres et d'arbustes. En été, dans les prairies alpines, il peut manger beaucoup de carex.

Comme tous les ruminants, le cerf de Thorold ne possède pas d'incisives à sa mâchoire supérieure. Les végétaux consommés sont pincés entre les incisives inférieures et le bourrelet corné du maxillaire supérieur puis arrachés par un mouvement de tête.
Comme tous les ruminants, le cerf de Thorold ne possède pas d'incisives à sa mâchoire supérieure. Les végétaux consommés sont pincés entre les incisives inférieures et le bourrelet corné du maxillaire supérieur puis arrachés par un mouvement de tête.
Comme tous les ruminants, le cerf de Thorold ne possède pas d'incisives à sa mâchoire supérieure. Les végétaux consommés sont pincés entre les incisives inférieures et le bourrelet corné du maxillaire supérieur puis arrachés par un mouvement de tête.
Comme tous les ruminants, le cerf de Thorold ne possède pas d'incisives à sa mâchoire supérieure. Les végétaux consommés sont pincés entre les incisives inférieures et le bourrelet corné du maxillaire supérieur puis arrachés par un mouvement de tête.

Comme tous les ruminants, le cerf de Thorold ne possède pas d'incisives à sa mâchoire supérieure. Les végétaux consommés sont pincés entre les incisives inférieures et le bourrelet corné du maxillaire supérieur puis arrachés par un mouvement de tête.

Le cerf de Thorold est un ruminant, sa digestion se fait en plusieurs étapes. L'animal mâche rapidement l'herbe qu'il vient de brouter et l'avale. La nourriture arrive dans le premier estomac où des bactéries commencent à dissocier les matières végétales coriaces pour en extraire autant de matières nutritives que possible. Plus tard, la nourriture à moitié digérée revient dans la bouche pour être mâchée à nouveau et on dit que l'animal rumine. La digestion se termine dans le second estomac. L'ensemble du processus dure environ 48 heures.

Cette méthode complexe a deux avantages: le cerf de Thorold extrait plus de substances nutritives en mâchant deux fois. Le système lui permet aussi de stocker la nourriture dans son estomac pour la digérer plus tard, à l'abri des prédateurs et réduit donc le temps passé à brouter à découvert.

L'activité journalière du cerf de Thorold est une alternance de période d'alimentation entrecoupées de période de rumination et de repos
L'activité journalière du cerf de Thorold est une alternance de période d'alimentation entrecoupées de période de rumination et de repos
L'activité journalière du cerf de Thorold est une alternance de période d'alimentation entrecoupées de période de rumination et de repos
L'activité journalière du cerf de Thorold est une alternance de période d'alimentation entrecoupées de période de rumination et de repos
L'activité journalière du cerf de Thorold est une alternance de période d'alimentation entrecoupées de période de rumination et de repos
L'activité journalière du cerf de Thorold est une alternance de période d'alimentation entrecoupées de période de rumination et de repos

L'activité journalière du cerf de Thorold est une alternance de période d'alimentation entrecoupées de période de rumination et de repos

On ignore beaucoup de choses sur le comportement naturel du cerf de Thorold, mais l’on sait que ces animaux forment la plupart du temps des groupes unisexués, un peu comme le cerf élaphe : des groupes de mâles juvéniles, des groupes de femelles prégnantes et des groupes de femelles avec leurs petits non sevrés. Les vieux mâles sont quant à eux, solitaires.  Dés l'arrivée des beaux jours, les animaux entament la difficile ascension des montagnes pour atteindre, parfois jusqu’à 5000 mètres d’altitude, les alpages ensoleillés et herbeux où ils trouveront repos et nourriture. Puis, avec le retour du froid en septembre, ils redescendront jusqu’à leur lieu d’hivernage en bas de montagne pour le début de la période de reproduction. On a rapporté que les hardes mixtes au pic de la saison d'accouplement pouvaient réunir entre 50 et 300 animaux.

En dehors de la saison de reproduction, les mâles et les femelles se déplacent habituellement séparément.
En dehors de la saison de reproduction, les mâles et les femelles se déplacent habituellement séparément.
En dehors de la saison de reproduction, les mâles et les femelles se déplacent habituellement séparément.

En dehors de la saison de reproduction, les mâles et les femelles se déplacent habituellement séparément.

Chez le cerf de Thorold, la période du rut dure environ 80 jours entre fin septembre et fin décembre. À ce moment, les mâles "rugissent" bruyamment et les combats font rage pour avoir accès aux femelles. Surexcité, sollicité sans répit pour surveiller ou défendre son harem, le cerf de Thorold ne s'alimente quasiment pas pendant la période du rut et peut perdre beaucoup de poids. Après une période de gestation estimée à une durée située entre 220 et 250 jours, la femelle met au monde un seul petit dont le corps est tacheté de blanc. Les jeunes faons sont capables de se tenir debout 40 minutes après leur naissance. Initialement, la mère les protège en les déplaçant dans différents endroits et leur rend visite deux fois par jour pour les allaiter.

  Comme chez la plupart des cervidés, les faons de cerf de Thorold naissent tachetés pour les aider à se dissimuler des prédateurs.
  Comme chez la plupart des cervidés, les faons de cerf de Thorold naissent tachetés pour les aider à se dissimuler des prédateurs.
  Comme chez la plupart des cervidés, les faons de cerf de Thorold naissent tachetés pour les aider à se dissimuler des prédateurs.
  Comme chez la plupart des cervidés, les faons de cerf de Thorold naissent tachetés pour les aider à se dissimuler des prédateurs.
  Comme chez la plupart des cervidés, les faons de cerf de Thorold naissent tachetés pour les aider à se dissimuler des prédateurs.
  Comme chez la plupart des cervidés, les faons de cerf de Thorold naissent tachetés pour les aider à se dissimuler des prédateurs.

Comme chez la plupart des cervidés, les faons de cerf de Thorold naissent tachetés pour les aider à se dissimuler des prédateurs.

Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.
Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.

Les jeunes passent les premières semaines de leur vie à l'écart dans les fourrés où ils restent cachés des prédateurs pendant que la mère se nourrit, ne revenant que périodiquement pour leur donner la tétée. Le faon ne reste pas continuellement en place durant l’absence de sa mère ; il se relève de temps en temps, va ça et là puis se recouche le plus souvent à un autre endroit.

 Après avoir pâturé, le plus souvent avec d’autres biches, la mère rejoint son petit pour l’allaiter. Elle vient à lui à son premier appel.
 Après avoir pâturé, le plus souvent avec d’autres biches, la mère rejoint son petit pour l’allaiter. Elle vient à lui à son premier appel.
 Après avoir pâturé, le plus souvent avec d’autres biches, la mère rejoint son petit pour l’allaiter. Elle vient à lui à son premier appel.
 Après avoir pâturé, le plus souvent avec d’autres biches, la mère rejoint son petit pour l’allaiter. Elle vient à lui à son premier appel.
 Après avoir pâturé, le plus souvent avec d’autres biches, la mère rejoint son petit pour l’allaiter. Elle vient à lui à son premier appel.

Après avoir pâturé, le plus souvent avec d’autres biches, la mère rejoint son petit pour l’allaiter. Elle vient à lui à son premier appel.

La biche lèche fréquemment la région anale du faon pour stimuler la tétée, la miction et la défécation qui est un élément essentiel du développement du faon.
La biche lèche fréquemment la région anale du faon pour stimuler la tétée, la miction et la défécation qui est un élément essentiel du développement du faon.

La biche lèche fréquemment la région anale du faon pour stimuler la tétée, la miction et la défécation qui est un élément essentiel du développement du faon.

Après environ deux semaines, ils rejoignent la harde. Les taches commencent à s'estomper après environ six semaines, et les faons ont le pelage adulte à la fin de leur première année. Le sevrage survient à l'âge de 10 mois et la maturité sexuelle est atteinte vers l'âge de 15 mois.

Le Cerf de Thorold redoute les grands carnivores naturels et renonce au repos intense. L’animal ne se repose jamais debout comme le cheval. Il se couche les pattes antérieures sous son corps. Pendant ces phases, il dort la tête posée sur le sol, les yeux fermés. La tête reste droite au début. Elle s’incline progressivement au fur et à mesure que le sommeil progresse.
Le Cerf de Thorold redoute les grands carnivores naturels et renonce au repos intense. L’animal ne se repose jamais debout comme le cheval. Il se couche les pattes antérieures sous son corps. Pendant ces phases, il dort la tête posée sur le sol, les yeux fermés. La tête reste droite au début. Elle s’incline progressivement au fur et à mesure que le sommeil progresse.
Le Cerf de Thorold redoute les grands carnivores naturels et renonce au repos intense. L’animal ne se repose jamais debout comme le cheval. Il se couche les pattes antérieures sous son corps. Pendant ces phases, il dort la tête posée sur le sol, les yeux fermés. La tête reste droite au début. Elle s’incline progressivement au fur et à mesure que le sommeil progresse.
Le Cerf de Thorold redoute les grands carnivores naturels et renonce au repos intense. L’animal ne se repose jamais debout comme le cheval. Il se couche les pattes antérieures sous son corps. Pendant ces phases, il dort la tête posée sur le sol, les yeux fermés. La tête reste droite au début. Elle s’incline progressivement au fur et à mesure que le sommeil progresse.

Le Cerf de Thorold redoute les grands carnivores naturels et renonce au repos intense. L’animal ne se repose jamais debout comme le cheval. Il se couche les pattes antérieures sous son corps. Pendant ces phases, il dort la tête posée sur le sol, les yeux fermés. La tête reste droite au début. Elle s’incline progressivement au fur et à mesure que le sommeil progresse.

Le cerf de Thorold a peu de prédateurs naturels. Seuls le loup et la panthère des neiges sont actuellement connus pour s'attaquer à ce cervidé. L'homme reste néanmoins son pire ennemi. Dans la mesure où l'animal vit en hardes, il peut compter sur la vigilance de chaque membre du groupe pour détecter les prédateurs. De plus, il est rapide, agile et peut se défendre avec ses sabots.

Les prédateurs naturels du cerf de Thorold sont le loup et la panthère des neiges mais son pire ennemi c'est l'Homme.
Les prédateurs naturels du cerf de Thorold sont le loup et la panthère des neiges mais son pire ennemi c'est l'Homme.

Les prédateurs naturels du cerf de Thorold sont le loup et la panthère des neiges mais son pire ennemi c'est l'Homme.

Les populations de cerfs de Thorold ont sérieusement décliné à cause de la chasse, la concurrence avec le bétail, ainsi que la conversion et la fragmentation de leur habitat naturel. Le cerf de Thorold est encore chassé pour sa viande par les peuples chinois et tibétains et braconné pour ses énormes bois.

Le cerf de Thorold est élevé dans des fermes en Chine et en Nouvelle Zélande pour la production de bois en velours et tout particulièrement pour la production de pantocrine  très prisé en médecine traditionnelle chinoise.

Aujourd'hui, le cerf de Thorold se produit dans deux aires protégées, Ja Ling et West-Sea dans la province du Qinghai, qui ont tous deux été créées spécialement pour la protection de ce cervidé.

La population de cerfs de Thorold est estimée à seulement 7 000 spécimens vivant à l'état sauvage.

 

 

L'espérance de vie du cerf de Thorold est de 21 ans en captivité, mais ne dépasse guère les 12 ans dans la nature.

Le cerf de Thorold est un animal faisant l'objet du plus haut niveau de protection nationale en Chine et il est inscrit dans la catégorie  vulnérable (VU) sur la Liste rouge de l'IUCN .

 

Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.
Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.
Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.
Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.
Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.
Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.
Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.
Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.

Les cerf de Thorold sont très peu représentés en captivité. Ici, au Parc Animalier d'Auvergne à Ardes-sur-Couze, France. Il semble que cette espèce s'adapte bien à la basse altitude.

 Sources: (En anglais)

Animal Diversity Web

University of Michigan

Przewalskium albirostris

Cerf de Thorold

www.ultimateungulate.com

Przewalskium albirostris

Cerf de Thorold

La nature, mutilée, surexploitée, ne parvient plus à se reconstituer, et nous refusons de l'admettre. L'humanité souffre. Elle souffre de mal-développement, au Nord comme au Sud, et nous sommes indifférents. La Terre et l'humanité sont en péril, et nous en sommes tous responsables.

Jacques Chirac , Discours d'ouverture du sommet de la Terre, 2 septembre 2002 à Johannesburg

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